T'itte conne va !
Ce soir ma petite princesse du sexe, libertine et coquine , tu as décidé de chevaucher mon membre érigé , mon étendard se dresse fier et conquérant , je deviens conquistador , joue de ton corps , tu es ma nouvelle Amérique , sur le relief de tes formes je fais courir la pointe de mon phallus , je te caresse avec adresse , témoignage de tendresse tout en finesse, je me glisse furtif entre tes fesses , dans une inspiration je pars en exploration , un peu timide je glisse , disparais entre tes cuisses, ton bassin collé au mien tu agites ton petit popotin ,d'imperceptibles contractions enserrent et resserrent l'objet de ton désir que tu savoures comme un déssert ...
Je dévore tes deux petits tétons que tu ériges durcis à mon regard , tes seins sublimes se balancent doucement au rythme des mouvements circulaires que tu imprimes à ton extraordinaire petit derrière . Je me noie littéralement dans le plaisir que me procure la vue de ces deux petites collines qui me défient , tes deux tétons enflent de plaisir, mon sexe turgescent rugit en silence dans les confins de ta caverne , dur et ferme je plonge dans ce nid douillet ou je me complet , la chute de tes reins calé au creux de mes mains .
Tu vas et tu viens, tu fais coulisser le long de ma tige rougeoyante ton clitoris dilaté et enflammé , pris en ventouse dans les limbes de ton intimité je sens monter en moi l'envie de prendre les commandes , d'un soubresaut j'inverse les rôles,te retourne , sous mon corps tu t'offres encore, je te prends, t'entreprends, te surprends un instant dans les bras d'un amant , jouant des histoires susurrées à l'oreille, jeux de rôle suggérés , tu finis par craquer, par sombrer ...
Je t' offre en pâture à d'imaginaires partenaires, je deviens tour à tour un amant , un passant, un inconnu qui te désir, ton désir monte crescendo ,tu m'oublie un instant, ne pensant qu' à ton amant , me suppliant de venir pour enfin jouir , tu t'abandonnes, dans ta tête résonne le souvenir de tout ces hommes qui ont croqué ta pomme ... je t'aime petite conne...
Angèle dans la place
Enfermé dans la cage , les bras attachés par des sangles, tu ondules au rythme des boomers . La torpeur ambiante combinée à l' excitation (et,l'envie d' être toujours plus désirée) t'obligent à abandonner l'essentiel de tes vêtements, tu agites ton corps transpirant et dégoulinant dans une succession de spasmes évocateurs, cette danse à caractère sexuel attise la libido de l' assemblé et en particulier la mienne …
En miroir de belles créatures te rejoignent dans ton alcôve de métal , frottant leur chair à la tienne , jouant d'effleurements et de regards affriolants à ton égard, petite princesse, tu n' as de cesse de remuer tes jolies fesses ! Un cran plus haut te voila monté sur le bar, tenant d' une main la barre que tu enlaces de tes jolies gambettes pour ensuite te laisser glisser dans un délicieux va et vient sur ce phallus chromé interminable .
Rapidement rejoins sur ton perchoir par deux jolies colombes, tu offres un spectacle hallucinant , décapant, frisant l'indécent pour mon plus grand plaisir ….
Je frôle l' arrêt cardiaque de plaisir quand ta voisine plonge sa langue dans ta bouche en ceinturant ton ventre de ses mains baladeuses, vos deux corps imbriqués, vous échangez une longue et langoureuse galoche qui termine de me mettre en état de transe, la coquine consciente de la situation tente de m' achever en m' embrassant à mon tour, la garce y parvient presque …
Inéluctablement nous terminons cette curieuse chorégraphie dans les étages de ce vieux moulin réaménagés, dans un invraisemblable amoncellements de corps, je m' abandonne à tes désirs ,ce soir tu es grande prêtresse du sexe ….
Ce ke je veux ?
La séquence se joue dans une salle
obscure,d' un club libertin, entouré d'une foule dépravée et surexcité … Ta main agrippe mon bras, nos regard s'entrechoquent, je lis l' étincelle magique, ta pupille dilaté trahie un instant ce
que ta pudeur te fait taire …. En silence nos yeux s'immobilisent , tu viens de lire le fond de ma pensée, tu n' en est que plus troublé, pas un mots, et pourtant on s' est tout
dit . Ta main toujours accroché glisse lentement vers mon poignet , je ressent cette caresse et un petit picotement, là, dans mon dos, pas un mot, je me noie dans tes yeux qui brillent . Le temps
s' est arrêté nette, autour de nous le reste de l' univers vient de se figer , plus un mouvement, juste le scintillement de nos yeux malicieux … c' est toi que je veux, ton coté yin ton
coté yang, mon petit coeur fait bang bang bang, effleurer de mon calibre, mon chibre, ton coté pille , et dans un dernier soubresaut jouir sur ton coté face .
paris gagnant
Le gros ventilateur découpe en tranches l' air
suffocant, la transpiration cumulée au 6o pour-cent d'humidité ambiante transforment le moindre mouvement en effort herculéen , le tee shift dans le quel tu as improvisé une jupe à minima te
colle à la peau, le tissus trempé de sueur laisse deviner le soyeux de ta peau, penché sur ton macbook pro , tu dévores les multiples messages d' hypothétiques amants, tu scrutes les
photos de leur phallus durcis . Je sais que ce soir, ces mêmes images viendront attiser ton désir quand j' enfoncerais mon pieux dans les tréfonds de ton sexe affamé …… De te savoir à
ce point désirée, convoité, par ce troupeau de mâle en rut excite ma libido, quand dans la nuit pour sublimer tes orgasmes tu ouvres ta porte de pandore aux fantasmes les plus
gore, je m' effraie , imaginant que l' un d' eux sera meilleur que moi, plus fort que le roi , je rêve de rester à jamais ton mentor dans les jeux du sexe, couché sous les pales de ce gros
ventilateur, pour toujours je rêverais de rester le meilleur, alors quand enfin dans un dernier cris tous tu les oublis, car au final c' est avec moi que tu jouis ma si jolie souris , je me dis,
que tu m' as fait toucher le plus beaux des paris ….