Angèle et le kaléidoscope
Coup de chaleur ,
"les déambulations sexuelle d'un chasseur en chaleur"...quoique crue cette définition semblait la plus approprié à mon état,la dépendance à mon petit angelot pour ne pas la citer, prenait des proportions invraisemblable, je commençais à cruellement manquer de vocabulaire pour décrire la frénésie sexuelle dans laquelle notre couple se vautrait chaque jour ! Chaque fois rassasié je pensais avoir atteint un sommet, mais quelques minutes suffisaient avant que nos corps ne replongent dans une volupté quasi constante... je commençais à porter les stigmates de ces chevauchés périlleuses , qui n'avaient rien d'une promenade de santé alors que ma tigresse semblait comme ressourcée, à bloc , prête à une nouvelle virée, le pied collé au plancher,j e n'avais d'autre choix que de la suivre , de la poursuivre ? . Même si parfois je m'inquiétais de ma capacité à assumer mon rôle de chasseur jusqu'au bout, heureusement il était facile de trouver la motivation, tant il émanait d'Angèle un puissant désir de donner et de prendre du plaisir, son corps tout entier semblait dégager des émanations de phéromone auquel le prédateur que j'étais ne résistais pas .
Nymphomane avertie
Angèle, reine de la nuit, avait ce dithyrambique vendredi soir placé la barre très haut, (celle de ses deux partenaires aussi d'ailleurs) , le niveau de ses prestations acrobatiques flirtaient avec la perfection ... Elle avait tout donné , au sens propre comme au figuré. Son don Juan du mardi était arrivé tard le soir de cet inoubliable vendredi, pour la deuxième fois elle ouvrait les portes de son jardin secret. Angèle préférait par dessus tout certaines postures, la levrette bien que peu poétique dans l'écriture déclenchait chez la libertine des orgasmes cataclysmiques, parfois incontrôlables, lorsqu'elle ressentait le membre de son étalon au plus profond.
Ce soir semblait différent pour la demoiselle, car bien que cette position soit sa préférée, elle avait décidé d'offrir à son invité une des plus belle pièce de son corps que nul n'avait jamais emprunté auparavant , pas même le chasseur ! J'avais moi même proposé la chose, sans briller dans ma prestation tant mon émotion était grande, j'étais affligé par ma "gaucherie" et mon manque de finesse, et débordé par la vague émotionnelle que suggérait la beauté de son derrière , offert . Je fus sauvé quand mon compagnon d'infortune vola à mon secours, abandonnant la fellation que lui administrait Angèle afin de répondre à ses attentes ... Grand professeur , notre "copain de jeux" n'avait pas failli à sa réputation ,d'un coup , d'un seul , il enfonça son mandrin, tout entier, comme le plaisir qu'on pouvait lire sur les lèvres mademoiselle , lui tirant des petits cris de plaisir proportionnels aux coup de butoirs qu'il lui assénait , et qu'elle ne fut pas ma surprise de constater la facilité avec laquelle ma chérie maîtrisait le sujet … Etait ce la prestation de son amant ou une prédisposition naturelle ? En tout cas j'avais une sacrée nana Je rêvais aux folles parties de sexe à venir tant sa dépendance devenait grande ....
Partie de dés Elle ne pouvait imaginer "son" chasseur exposé, voulant le garder pour elle , et surtout ne pas laisser une, ou un autre, s'en approcher, leur histoire devait rester secrète, il devait rester tapi dans l'ombre, (la sienne?)ne sortir qu'au moment de rabattre une proie susceptible de lui convenir...
Il convient de dire que la lionne peu prêteuse, garde son territoire farouchement ... Préférant laisser croire aux " proie potentielle" (les pauvres) à une image d'Epinal , celle d'une "pauvre créature", seule triste et abandonné , c'était dès lors plus facile de capturer les oiseaux rares qui n' y voyaient que du feu et ,tombaient les deux pieds dans le plat , hypnotisé par son sensuel charisme , secrète et rusé, parfois cruelle à l'encontre de ses proies , voir du chasseur , refusant parfois ce qu'elle autorisait ensuite , petite princesse de notre comte de sexe, elle aimait à jouer les reines de bal ..... Mais de quoi avait t'elle peur ? puisqu'il l'aimait plus que tout au monde ? n'avait il pas ressenti la même peur lorsqu'elle s'abandonnait aux bras d'un autre , lui offrant son corps et ses caresses ? (et même plus... )
Malgré sa peur , il avait offert cette part de liberté à la belle pour la rendre plus heureuse , plus libre, part dans laquelle elle avait mordu à pleine dent, prenant peu à peu conscience de son "pouvoir" de séduction, du magnétisme qu'elle opérait sur les hommes, et désormais elle ne pouvait plus partager l'affiche avec un "second couteau".. .le chasseur devait exister , certes , mais dans l'ombre de sa lumière …
C'était bien "elle" la grande patronne, fixant les règles du jeux , le chasseur tel le fou du roi, faisait alors rouler les dès sur un tapis doré, Angèle prêtresse de la partie exécutait alors la prédiction , du spectacle j'étanchais ma soif insatiable car dans la fonction de " maître suprême " elle excellait , laissant peu à peu apparaître la dominatrice qui se cachait derrière la timide Angèle ....
J'étais devenu le " chasseur " esclave d'une dominatrice s'ignorant .... Plus pour longtemps , j'attendais impatient l'éclosion du papillons, la jolie Percéphone terminait peu à peu sa mutation , toujours plus belle , encore plus sexuelle , débridée et habité , comme si toute les images érotico délirantes de mon esprit s'était matérialisé en elle même!
Je vivais mon rêve éveillé , jouissant à l'avance des prés dispositions peu communes de ma douce et tendre dans le domaine de la chair et du sexuel, reculant toujours les limites , seul mon manque d'imagination devenait dès lors un frein à cette extraordinaire épopée, heureusement en fermant les yeux les images se bousculaient dans ma tète, comme autant de partie de chasse , teinté de jouissance et d'élégance pour le bon plaisir d'Angèle et son Chasseur....
Angèle aime le champagne !
Dans moins de quatre heures le mois d'octobre commencerait, curieusement et sans aucunes explications j'adorais le dixième mois de l'année, les aventures d'Angles et de son chasseur laissait présager un mois à venir tout simplement royal, au regard des quatre derniers écoulés...Alors que pendant de longues années Angèle avait souvent joué les jeunes élève aimant à se laisser guider dans nos nombreux ébats amoureux, depuis peu un virage à cent quatre vingt degrés s'opérait,silencieusement ma jeune "Panawan" glissait dans la panoplie du" maître", me laissant avec délice devenir son élève ... Quel pied ! j' en avais si souvent rêvé, voir ressortir le coté dominant de ma petite Lionne adorée, ça y est , enfin, j'allais pouvoir me vautrer dans la décontraction la plus totale, jouir dans la contemplation , me laisser aller, guidé par les mains graciles de ma gazelle. Vingt trois heures, le bouchon gicle de son logement, le goulot d'une bouteille de champagne avec laquelle j'arrose les petits seins pointus d'Angèle, le liquide censé calmer le feu qui la submerge, produit l'effet inverse, elle attrape à pleine mains sa poitrine dégoulinante de mousse, sa langue goutte les petites bulles à même ses tétons durcis, à cet instant son regard plongé dans le mien me donne la fièvre, j'attrape mon verre, le vide d'un trait , lâche la bouteille qu'elle attrape furtivement avant même qu'elle ne touche le sol, place l'objet entre ses cuisse, tel un phallus énorme, doucement elle fait glisser le nouveau sex toy sur son sexe humide, puis tout en retirant l'aluminium de l'embout, elle entreprend alors de chevaucher ce sexe de verre sur dimensionné . Elle se laisse descendre progressivement , peu à peu le goulot du magnum disparaît , commence une longue série de va et viens langoureux .... Tout en se donnant du plaisir, ma Percéphone promène sa langue sur mon sexe turgescent ,exerçant sur toute la longueur des caresses mouillées . Retirant le phallus d'entre ses cuisses, elle le remplace par sa main qui part fouiller dans son petit triangle , elle enfonce alors trois doigts dans son sexe et sombre dans un formidable et interminable orgasme m'intimant d'un regard complice de jouir sur elle. La nuit vient de commencer , le réveil indique minuit douze, on entame le dixième mois de l'année, un jouissif mois d'octobre !
Jeu 9 fév 2012
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