Angèle et le kaléidoscope
Le pognon … et la connerie ,
Le pognon … Le fric , l' oseille , le flouze , autant de définitions pour quelques pièces au fonds de la poche , ou une succession de zéro précédée d'un chiffre entre un et neuf sur un compte en banque suisse … Rien de neuf pour ma part à ce sujet , à mon niveau l' argent pour le nommer , a toujours été comme un coït , en moins romantique , une histoire de va et vient , des mouvements , des transferts , on vide un endroit pour en remplir un autre . Certains on la naïveté de nous faire croire qu'il ne contribue pas au bonheur , ben tient Emile , au même titre qu'une paire de seins ne contribue pas à la féminité d' une demoiselle . Si , si , si ! Le fric rend la vie plus électrique , plus magique , il simplifie le quotidien , apporte de la couleur et des paillettes . Le beauf peut étayer son sur moi dans les sièges en cuirs de la dernière BMW , acceptant que l' objet de son désir ai déjà perdu dix pour cent de son prix juste en posant son derrière à l'intérieur sans même avoir tourné la clef . Le nerf de la guerre , un gourdin il y a très longtemps , aujourd'hui , du cash , des dividendes , des actions cotés en bourse , ( non pas celle là , je parle de wall street ) . Bref , ce flouze offre des perspectives plus roses , ou tout du moins , moins grises . Et en hivers , c'est plutôt stimulant d' apporter du pink à la grisaille de ces journées nuageuses .
Je vous mentirais si j' affirmais que l' accession au monde libertin comme nous l' avons vécus , la baronne et moi même n' a pas été facilité par des revenus plus que corrects , nous ne sommes pas des nantis , loin de là , mais nos petites escapades parisiennes n' aurait jamais été possibles si nos fiches de paye étaient resté coincées au smic . Le libertinage rime souvent avec bon vivre , que cela soit dans la nourriture , les boisons ou les sorties , contrairement à mes années keuponne , ou un litre de bière kronembourg assaisonné de quelque joints , accompagné d'un tube des Stooges ,suffisaient à mon bonheur , ( eh oui , je n' ai pas toujours été le garçon sage que vous connaissez ) , le Vancruxifort que je suis devenu a sérieusement monté la barre à plus d' un point , ceci expliquant cela , la Baronne a elle aussi d' ailleurs monté la barre plus haut , qu'il s'agisse de la mienne ou de celle d' heureux veinards qui se trouvaient sur notre route . La même baronne pour des raisons variées , certes , une prédisposition et un engouement pour les chose du sexe , une jouissance a procurer du plaisir à la gente masculine , la sus cité baronne a trouvé dans son job d' hôtesse pour mâle en rut , un moyen non négligeable de financer ses envies de consommation en lingerie fines et autres plaisir de la vie quotidienne en plus de satisfaire à son incommensurable besoin de plaire .
Il y a selon Epicure plusieurs degrés de besoins , comme par exemple l' eau , un besoin naturel et nécessaire , hum , "c' est bon l' eau ! " et c' est pas cher ! Et pis d' autres besoins , moins nécessaires et pas forcément naturels , comme l' iphone d' Angèle , ou le V six , injection , au volant duquel Vancruxifort joue les kakous du dimanche , donc pour cette catégorie de besoins pas nécessaires et pourtant tellement efficaces à la satisfaire notre penchant enfants gâtés . Pour toute cette ribambelle d' envies pulsionnelles qui me font exister en tant que tel , ces " babioles " impliquent un support d' échange , et pas des cacahuètes s'il vous plaît , en monnaie de singe on obtient rien , mais des bons vieux zeuros , sonnants et trébuchants , qui font bling bling dans la poche , ben oui , la vie est parfois rigolote comme une feuille d' impôts , et dans ce genre de situation mieux vaut pouvoir aligner , plutôt que de se faire aligner .
Pour avoir vécu les deux situations , avec et sans pognon , il ne me semble donc pas totalement délirant de prétendre que ce dernier contribue à structurer le bonheur et à lui donner du sens . C' est quoi le bonheur ? disait l' autre , je sais pas trop en fait , mais mon expérience m' a permis ce constat , avec du flouze , le bonheur j' arrive mieux à l' écrire ! Alors permettez d' envoyer " chier " , ces chieurs qui prétendent que l' argent n'y participe pas , et par la même , d' envoyer aussi " chier , " Marc ", un internaute bien pensant , pour son commentaire : " ptin ta pas honte de te (angel ) comporter comme une pute alor que tu doit avoir une famille ... pff " , hé Marc , pourquoi tu lis mes histoires si ça te choques ? Je salue les autres " marc " pas responsable de la bêtise de ce sinistre con porteur du même prénom , ( ma réponse à ce commentaire bourré de fautes fut : Apprend à écrire , achètes toi un cerveau , et jette ton ordinateur , tu verras , ça fait du bien ! V. ) . Visiblement notre ami , Marc , s' éloigne du bonheur , je ne sais pas comment se porte les finances de ce spéculum à conneries , mais dans l' éventualité ou son compte en banque serait aussi garnit que sa réserve d' inepties , alors , d'accord , l' argent ne suffit pas au bonheur ! ( et heureusement ! )
La planète recèle de sinistres cons , ceux là même qui nous ont conduit à détourner notre regard pour voir autre chose . Avec ou sans argent , la connerie reste la connerie, mais chose curieuse , le fric peut rendre moins con , il permet de satisfaire des besoins , une fois soulagé , ce vide laisse place à la réflexion , réfléchir avant d' agir , avant d' écrire . Le moment ou il ne faut plus trop réfléchir , c' est quand votre sexe devient turgescent à souhait , quand le souffle devient court et que le rythme cardiaque atteint les cent trente pulsations minutes , votre désir alors à son paroxysme modifie le temps qui passe , on devient , l' instant , à ce moment précis , quand votre nez respire l'odeur de l' autre , quand votre langue se transforme en outils de communication , alors le cerveau peut basculer en mode " australopithèque " , dans le sexe , l' animalité permet de passer les " level " , ben ouais, merde à la bien séance ! Je clouterai ce chapitre pour les puritains de service, par la célèbre phrase du sinistre con , prix Nobel de la connerie en trente six , mais amateur de bonnes choses : " heil ! , Appôrtez moi dé poutes , de la Shnouffe , et du Schnaps ! La soirée pourra commencée ! " . ( à prononcer avec un fort accent , d'Amérique du sud ou germanique , les dictateurs comme la connerie sont légion ) .
Incestueux désirs ... , et culottes petit bateau ...
Lorsque Angèle ondule de sa croupe , empalée sur mon braquemard en étendard , sa culotte petit bateau que je n' ai pas pris le temps de lui arracher , compose avec mon sexe un tableau quasi incestueux , son fessier combiné à sa blanche culotte parsemé de petites fleurs me font penser à une fille de pensionnat privée , décidément miss Angèle a vraiment un petit cul à faire bander un moine bouddhiste . Ses fesses de petite " nana " , le nirvana , combiné à sa lingerie post adolescente , rendent mon sexe encore plus gros , pareille à l' excitation qui échappe à mon contrôle . Je deviens Nabokov pour une Angèle sublimée au rang de gamine sexuée .
J'attrape à pleine mains les petites fesses rondes de ma blonde ( qui est brune ) , je les serre autour de mon cylindrique appendice hypertrophié , puis écartant ces mêmes petites fesses j' enfonce mon bout au bout du du bout , elle crie " aouuu " . A genoux devant moi , sur le matelas , je serre la taille de guêpe de ma libidineuse butineuse entre mes deux mains en étau , mon dard planté dans son bas ventre , je retient son bassin et lui assène de violents coup de reins . Le visage gît enfoncé dans l' oreiller , comme scotchée , punaisée par ma grosse punaise , celle des " super soirs de baises ". Ce soir , en petite fille , tu te fais dominer , tu offres ton entrée , enjouée à l' idée d' être dirigée , ta culotte s' enroule sur elle même , coincée entre mon calibre et ta fente timide , le bord ourlé vient flatter ton sexe , caresser ton petit bouton à sensations . Je sors mon outils de ta boite à malices , pour replonger encore plus vite , une petite fleur de ta lingerie est engloutie par ton sexe devenu béant , comme affamé . Tu te cambres , remonte tes épaules , recule ton popotin , en prenant soins d' engloutir sans frémir mon engin , mon machin , ce lutin cyanosé , étranglé par l' élastique de ton petit bateau en coton synthétique , mon super machin , ce méga engin s' enfonce , te défonce , et moi , je fonce , Alphonse , sur et certain de trouver une réponse . Mon sexe comme une pierre ponce , te frotte jusqu'à la glotte , le tacatac du lit comme un cheval qui trotte , et ta petite culotte qui fait flop flop , de plus en plus sur ma trique tu t' enfonces , tu veux toucher l' entrée du col , c' est à ce moment que tu décolles , tu t' envoles , tu rigoles de ton sexe devenu une rigole qui déborde . Acharné , possédé , je continue à limer le penne de ta serrure qui s' ouvre sans peine , encore deux ou trois va et vient dans ton écrin , avant de lâcher sans compter , ton sirop préféré . Impossible de nous décoller , mon tuyau prisonnier de ta vulve contracté , insatiable , femme nymphomane , pyromane quand tu m'allumes . Tu as encore envie de me sentir venir , ressentir mon désir , celui pour ton petit popotin de pouliche en chaleur . Avec ardeur , je comprime mon bassin contre ton derrière , coquin , la morsure de ta chatte excité écrase mon membre érigé , à force de t' acharner , de t'agiter , tu réussi à réveiller mon fusil que je croyais déchargé .
Comme Vancruxifort est de toute façon le plus fort et le plus rotors , je finis par trouver dans le cliché de ta petite culotte découpé par mon sexe dilaté , un sujet de fantasme torturé , je t' imagine petite pute abandonné à mon vice , et mon appendice de nouveau se multiplie par dix , il te remplis , t' envahis , et toi tu supplie , tu crie , apparemment tu n' as plus qu'une seule envie , la même pour moi aussi ! Je te regarde te tordre , j' ai envie de te donner des ordres , de t' attacher avec une corde , petite catin aux yeux malins , en fille de joie et moi sur toi , nous sommes des rois , et quand tu me cries " j'te veux pour moi "je vide mon émoi en toi et jouis sur toi , mon cadeau comme un fil à soie jaillit vers toi , un dessin nacré sur tes fesses bombées en final de ce bal infernal clôture cette soirée agitée . Tu termines par lécher mon sexe fatigué et mouillé , aspirant une dernière perle nacrée de ce nectar , plus tard , dans la nuit noire , je reviendrais jouer les avatars , déguisé en dieu du plumard , te faire goutter de mon braquemard , te l' enfoncer Dar Dar , sans un mots , juste un regard , pour t' offrir mon malabar … Tu es mon entraineuse de bar , mon pote à nibards , une poulette rare , et moi un vrais renard tombé dans un traquenard !
Mar 24 jui 2012
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